Chez le très jeune enfant, 3 sortes d'angoisses se mettent en place et évolue pour son bien et l'aider aussi a se construire.
Face a ses angoisses toujours mettre des mots,des explication simple dans ce que peut ressentir l'enfant,parfois facile,parfois difficile.Car nous même sommes parfois confronté a des angoisses ou peurs sans trop savoir pourquoi.Mais il est important pour l'enfant de savoir qu'un adulte référent soit sensible et compréhensible par rapport a ce qu'il traverse a ses moment la.
Rassurer et mettre des mots.
Des sa naissance:Les angoisses corporelles.
Il faut comprendre que l'enfant intra utérin il est soutenu de partout.Tous ses appuis sont en contact.
Cela développe chez lui un bien être de soutenue et d'enveloppe corporelle.
Puis a la naissance cette enveloppe fait place a moins de soutenue moins de contenance et donc comme lors d'un changement de position(passage de bras)l'enfant se sent moins soutenu et perd ses repères face a ses appuis.
Il se raidi,bas des bras,ouvre de grand yeux....
Accompagné avec bienveillance cette étape importante avec des gestes lents et beaucoup de contenance.
La position ou l'enfant est le mieux est la position allonge sur le dos.c'est la position ou tous ses appuis sont en contact.Il peut se détendre et évoluer et construire son schéma corporel.
Vers 8 mois:Angoisses de séparations
C'est une étape fondamentale pour la construction du soi.
http://papapositive.fr/langoisse-de-separation-chez-lenfant/
Quelques pistes pour l'aider:
Un objet transitionnel(doudou)
lui expliquer par des mots simple
jeu du coucou/caché
instaurer des petits rituels de séparation
Lui indiquer par un moment dans la journée quand on revient:(maman revient après le goûter)
le rassurer
Ne pas le mettre en situation d'angoisse quand on peut l’éviter (si une personne lui fait peur ne pas le placer directement dans ses bras laisser lui le temps de se familiariser)
Ne pas partir quand il ne regarde pas ou bien quand il dort
Quand vous avez besoin de cuisinez par ex installer le prés de vous et metter des jouets:il sait que vous êtes la sans l'angoisser il va prendre petit a petit confiance.
Environ après 1 an:les angoisses et expériences corporelles.
- 1 an : peur des bruits (aspirateur, téléphone, mélangeur, etc.).
- 18 mois : peur des monstres ou de la noirceur. Alors qu’il dormait avant les lumières éteintes et la porte fermée, il demande maintenant de garder la porte entrouverte parce qu’il se sent en danger.
- De 2 à 4 ans : peurs passagères : gros animaux, surtout s’il n’y en a pas à la maison, orages, clowns, père Noël, créatures imaginaires telles que les sorcières, les fantômes ou les robots. Elles peuvent survenir en raison de la peur de l’inconnu ou par la réaction excessive des autres dans certaines situations.
- De 5 à 12 ans : peurs associées à un objet ou à une situation particulière (insectes, voleurs et kidnappeurs, médecins et dentistes, peur du vide, des accidents). L’enfant peut aussi avoir peur des catastrophes naturelles ou de la guerre, après avoir vu des images d’actualités troublantes à la télévision. C’est aussi l’âge des premières peurs sociales (être rejeté à l’école, prendre la parole en public, etc.). Celles-ci se rapprochent d’ailleurs de celles des adultes
- Les attitudes gagnantes
- Prenez au sérieux la peur de votre enfant, sans le ridiculiser ni le disputer. Même si elle est sans fondement ou semble anodine, la peur est réelle. Il ne faut donc pas la minimiser. Par contre, ne réagissez pas trop ou ne surprotégez pas votre enfant, car cela renforcerait la peur.
- Renforcez son courage. Rappelez-lui les situations où il n’a pas peur ou les moments où il a réussi à vaincre sa peur.
- Décodez ses signaux de peur. Sans les nommer, votre enfant peut montrer qu’il a peur lorsqu’il se cache, qu’il ferme ses yeux, etc.
- Favorisez l’expression de ses émotions pour qu’il apprenne à nommer ses peurs et parlez-en avec lui. Les mots aident les jeunes enfants à maîtriser leurs émotions.
- Parlez de vos propres peurs d’enfant, en prenant soin d’en choisir une autre que la sienne : « Toi, tu as peur des chiens, mais moi, j’avais peur des chats! Pourtant, tu vois, les chats sont gentils, tout comme les chiens. » Vos réactions ont aussi une influence. Si vous criez à la vue d’une araignée ou d’une abeille, vous risquez de transmettre votre peur à votre enfant
- Ne mettez pas trop l’accent sur ses peurs, mais plutôt sur ses forces. Vous éviterez ainsi que ses peurs deviennent une façon d’avoir votre attention.
- Soulignez ses réussites. Même les plus petites réussites encourageront votre enfant à essayer de nouveau
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